Des plans vrais, sans détour
Besoin de sexe sans blabla. Ce soir, j’ai juste envie de tout lâcher, de laisser tomber les stories Insta qui me chauffent pour de vrai. Je veux du concret, un plan cul à Albert, sans prise de tête, juste deux corps qui se cherchent et se trouvent. Que tu sois du Centre-ville, du côté de la Place d’Armes ou que tu traînes vers le Quartier de la Gare, je veux juste une soirée qui part en couille, sans promesse, sans lendemain, mais avec tout ce qu’on a à donner. J’ai envie de sentir la tension monter, de voir jusqu’où on peut aller, sans se poser de questions. Viens, on s’offre une vraie parenthèse chaude.
Je traîne sur Instagram, comme souvent quand la nuit tombe sur Albert. Les stories défilent, les corps s’exposent, les regards accrochent. Je sens la tension monter, ce mélange de frustration et d’excitation qui me fait vibrer. Les images s’enchaînent, et soudain, je tombe sur elle. Son sourire, ses lèvres entrouvertes, ce regard qui semble me défier à travers l’écran. Je sens mon envie grandir, presque douloureuse. Je ferme les yeux un instant, je me laisse envahir par le désir.
Je repense à la dernière fois où j’ai croisé son chemin, en plein Centre-ville, juste devant la boulangerie où l’odeur du pain chaud se mélangeait à celle de son parfum. Elle portait un jean moulant, un haut léger, et je n’ai pas pu m’empêcher de la mater, de la dévorer des yeux. Elle a souri, comme si elle savait exactement ce que je pensais. Depuis, j’ai cette image d’elle qui me hante, qui me fait fantasmer à chaque coin de rue.
Ce soir, j’ai envie de plus. J’ai envie de sentir sa peau contre la mienne, de goûter sa bouche, de la faire gémir dans l’ombre d’une ruelle du Quartier de la Gare, là où personne ne viendra nous déranger. Je veux la plaquer contre un mur, sentir son souffle court, ses mains qui glissent sous mon t-shirt. Je veux qu’on oublie tout, qu’on se laisse aller à nos pulsions, sans réfléchir, sans se retenir.
Je marche dans les rues d’Albert, la Place d’Armes résonne encore des rires de la journée, mais la nuit, tout devient plus électrique, plus dangereux. Je la cherche du regard, j’imagine nos corps qui se frôlent, nos mains qui s’égarent. Je sens mon désir devenir incontrôlable, animal. J’ai envie de la prendre, là, tout de suite, de la faire jouir contre les pavés encore tièdes de la ville.
Ce soir, je ne veux pas de promesses, pas de lendemain. Juste un plan cul à Albert, brut, intense, sans détour. Je veux qu’on se dévore, qu’on se marque, qu’on se souvienne. Viens, on s’offre une vraie parenthèse chaude.