Des plans vrais, sans détour
Pas de tabou, que du désir. Ce soir, c’est pas le romantisme que je cherche, mais juste un vrai plan cul à Albertville. J’ai envie de sentir la tension monter, de croiser un regard complice, que ce soit en Centre-ville ou du côté de Conflans, peu importe tant que le feeling passe. J’ai pas envie de tourner autour du pot ou de faire semblant, j’ai juste besoin de lâcher prise, de profiter à fond, sans prise de tête. Ici, on est là pour se faire plaisir, pour se retrouver dans un moment brûlant, sans promesse ni lendemain. Si toi aussi t’as cette envie brute, ce besoin de te laisser aller, alors on est sur la même longueur d’onde. Viens, on s’offre une vraie parenthèse chaude.
Albertville
Ce soir, j’ai pas envie de tourner autour du pot. Pas de promesses, pas de grandes déclarations, juste cette envie brute qui me colle à la peau. J’ai traîné dans le centre-ville d’Albertville, les rues encore tièdes de la journée, les regards qui se croisent, les sourires qui en disent long. J’aime cette ambiance, ce mélange de routine et de tentation, comme si tout pouvait basculer au détour d’une ruelle.
Je marche sans but précis, mais avec une idée bien claire en tête. Pas de romantisme, pas de faux-semblants. Ce soir, c’est le plaisir qui m’appelle, celui qui fait vibrer, qui fait oublier le reste. Je repense à ces soirs où, dans un bar du centre, les discussions s’effilochent pour laisser place à des gestes plus francs, des mains qui se frôlent, des regards qui s’alourdissent. J’aime sentir cette tension, ce jeu silencieux où chacun sait pourquoi il est là.
Je pousse jusqu’à Conflans, ce quartier perché qui domine la ville. Là-haut, l’air est plus frais, mais l’envie, elle, ne faiblit pas. Les vieilles pierres, les ruelles étroites, tout invite à se perdre, à s’abandonner. Je me souviens d’une nuit, il n’y a pas si longtemps, où j’ai croisé un regard qui ne mentait pas. On n’a pas parlé d’amour, on n’a pas parlé d’avenir. Juste deux corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se dévorent sans se poser de questions.
C’est ça que je veux ce soir. Pas de complications, pas de faux espoirs. Juste la chaleur d’une peau contre la mienne, la douceur d’une bouche qui explore, la brutalité d’un désir qu’on ne retient pas. J’ai envie de sentir l’urgence, la fièvre, cette parenthèse où tout s’arrête sauf nos souffles qui s’accélèrent. Albertville devient alors notre terrain de jeu, nos souvenirs s’accrochent aux murs, nos envies s’impriment sur les draps.
Je ne cherche pas à plaire, je ne cherche pas à séduire. Je veux juste partager ce moment, cette pulsion, cette envie qui ne demande qu’à exploser. Si toi aussi tu ressens ce feu, si toi aussi tu veux t’offrir une nuit sans lendemain, sans promesse, alors viens. Viens, on s’offre une vraie parenthèse chaude.