Des plans vrais, sans détour
Si t’es chaud·e, je le suis aussi. J’avoue, c’est en scrollant sur Instagram que l’envie m’a pris, cette envie de sentir une vraie présence, de partager un moment sans prise de tête, juste pour le plaisir. Je cherche un plan cul à La Ferté-Bernard, quelqu’un qui, comme moi, a besoin de chaleur humaine, de frissons et de rires complices. Que tu sois du Centre-ville, du Quartier de la Gare ou que tu aimes flâner du côté du Quai de l’Huisne, je suis prêt·e à te rencontrer là où tu te sens bien. Pas de faux-semblants, juste l’envie de se découvrir, de se toucher, de s’amuser. Si tu ressens ce petit feu qui brûle, viens, on se laisse tenter. Je suis chaud·e. À toi de jouer.
La Ferté-Bernard
Ce soir, la lune s’attarde sur La Ferté-Bernard, et moi, je traîne dans mon lit, incapable de trouver le sommeil. Je fais défiler Instagram, sans but, juste pour tromper l’ennui. Mais il suffit d’une photo, d’un sourire, d’un regard capturé à la volée, pour que tout bascule. Mon corps se réveille, mes pensées s’échauffent. Je me surprends à rêver d’une peau contre la mienne, d’un souffle chaud dans le creux de mon cou. L’envie me prend, brutale, douce, irrésistible. Ce n’est pas de l’amour que je cherche, non, juste un plan cul à La Ferté-Bernard, une parenthèse brûlante, sincère, sans lendemain.
Je repense à mes balades dans le Centre-ville, à ces terrasses où les regards se croisent, se cherchent, se défient. J’aime sentir la tension dans l’air, ce jeu silencieux où tout peut arriver. Parfois, il suffit d’un sourire échangé au détour d’une ruelle pavée pour que le désir s’invite, sans prévenir. Je me souviens d’une nuit, il y a peu, où j’ai suivi un inconnu jusqu’au Quai de l’Huisne. L’eau glissait lentement, reflet de nos envies. Nos mains se sont frôlées, nos bouches se sont trouvées. La ville était silencieuse, mais nos corps, eux, criaient leur faim.
Le Quartier de la Gare, c’est un autre terrain de jeu. J’aime y flâner, observer les voyageurs pressés, les amants qui se retrouvent ou se quittent. Il y a dans l’air une urgence, une promesse de plaisir volé avant le prochain train. J’ai déjà cédé à la tentation, là-bas, dans l’ombre d’un porche, contre un mur tiède. Les souvenirs me reviennent, me font frissonner. Je veux retrouver cette chaleur, ce vertige, ce goût de l’interdit.
Ce soir, je ne veux pas de promesses, ni de mots doux. Je veux des mains qui explorent, des baisers qui brûlent, des corps qui s’emmêlent sans retenue. Je veux sentir la sueur, la peau, le plaisir pur, animal, sans fard. Je veux un plan cul à La Ferté-Bernard, ici, maintenant, dans cette ville qui connaît mes secrets et mes faiblesses.
Je suis chaud·e. À toi de jouer.