Plan cul à Clermont-Ferrand : vrai, chaud, sans détour

Pas là pour discuter météo. J’ai la flemme de faire semblant, alors je vais droit au but : je cherche un plan cul à Clermont-Ferrand, sans prise de tête ni blabla inutile. Que tu sois du Centre-ville, que tu traînes souvent du côté de la Place de Jaude ou que tu préfères l’ambiance un peu plus discrète du Quartier Saint-Pierre, peu importe tant que l’envie est là. J’ai des fantasmes à assouvir, des envies à partager, et je veux juste rencontrer quelqu’un qui pense pareil, sans tourner autour du pot. Pas de faux-semblants, pas de promesses en l’air, juste deux personnes qui se plaisent et qui ont envie de passer un bon moment. Je suis prêt·e, et toi ?

Ce soir, je n’ai pas envie de jouer la comédie. Pas de faux rires, pas de promesses en l’air, pas de longues discussions sur la pluie et le beau temps. J’ai la flemme de faire semblant. Ce que je veux, c’est simple, brut, sans détour. Un plan cul à Clermont-Ferrand, voilà ce qui me fait vibrer. Juste deux corps qui se cherchent, se trouvent, se dévorent, sans se mentir.

Je marche dans le centre-ville, les pavés résonnent sous mes pas. L’air est doux, chargé de cette tension électrique qui précède les rencontres interdites. Je repense à cette nuit, Place de Jaude, où nos regards se sont croisés. Il y avait dans tes yeux cette même envie, ce même feu qui brûle sans demander la permission. On s’est frôlés, à peine, mais c’était suffisant pour allumer l’incendie. Je n’ai pas besoin de plus. Pas besoin de mots compliqués, ni de promesses d’avenir. Juste toi, juste moi, ici et maintenant.

Le Quartier Saint-Pierre, je le connais par cœur. Ses ruelles sombres, ses bars où l’on se frôle, où les mains s’égarent sous la table. J’aime cette ambiance, ce parfum de tentation qui flotte dans l’air. Je me souviens de cette soirée, la musique trop forte, nos corps serrés l’un contre l’autre, la chaleur de ta peau sous mes doigts. On s’est échappés, riant comme des gamins, pour se retrouver dans un coin discret, loin des regards. Là, il n’y avait plus de place pour le mensonge. Juste le désir, pur, animal, sans fioritures.

Je n’ai pas envie de m’inventer une histoire. Je ne cherche pas l’amour, ni les complications. Ce que je veux, c’est sentir ton souffle contre ma nuque, tes mains qui explorent, ta bouche qui réclame. Je veux la vérité de nos corps, la sincérité de nos envies. À Clermont-Ferrand, tout devient possible. Les rues deviennent des promesses, les places des terrains de jeu. Je veux t’emmener là où personne ne nous voit, là où tout est permis.

Ce soir, je laisse tomber les masques. Je suis là, entier·e, prêt·e à tout. Pas de faux-semblants, pas de détours. Juste toi, juste moi, juste ce feu qui nous consume. Je suis prêt·e, et toi ?