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Des plans vrais, sans détour

Le plan cul à Paris : immédiat, humain, chaud

Je suis tout·e excité·e à [A3]. J’ai maté un porno, j’ai switché ici, et franchement, j’ai juste envie de sentir un corps contre le mien, là, maintenant. J’en peux plus de fantasmer tout·e seul·e devant mon écran, j’ai besoin de vrai, de chaud, de vivant. Que tu sois du Marais, de Pigalle ou que tu traînes du côté de Bastille, je m’en fous, tant que tu veux la même chose que moi : un plan cul sans prise de tête, juste du plaisir, sans blabla inutile. J’ai envie de tes mains, de ta peau, de ton souffle, de tout ce qui fait qu’on oublie le reste, le temps d’une nuit ou plus si affinités. Je te veux vraiment, là, tout de suite.

Ils veulent juste baiser

J’ai maté un porno, ouais. J’ai maté un porno, et j’ai senti la chaleur monter, cette tension sourde qui me serre le ventre, qui me fait presque mal. J’ai maté un porno, et j’ai eu envie de plus que de me toucher seul dans mon lit, plus que de fantasmer sur des images qui ne me regardent même pas. J’ai eu envie d’un corps, d’un vrai, d’un corps contre le mien, d’une peau étrangère, d’une bouche qui ne ment pas.

Alors j’ai switché ici. J’ai laissé l’écran bleu derrière moi, j’ai laissé les gémissements factices, et j’ai pensé à Paris, à la ville qui ne dort jamais, à ses rues qui sentent la sueur, le vin, la nuit. J’ai pensé à mes errances dans Le Marais, à ces regards volés dans les bars, à ces sourires qui promettent tout et rien. J’ai pensé à Pigalle, à ses néons roses, à ses vitrines pleines de promesses, à la moiteur de ses clubs où les corps se frôlent, se cherchent, se trouvent parfois. J’ai pensé à Bastille, à la foule qui déborde sur les trottoirs, à la musique qui cogne dans la poitrine, à ces soirs où je me suis senti vivant, désiré, affamé.

Ce soir, j’ai envie de sentir une main sur ma nuque, une bouche sur ma peau, une langue qui explore, qui goûte, qui réclame. J’ai envie de sentir le poids d’un autre corps, la chaleur, la moiteur, la brutalité douce d’un plan cul à Paris. J’ai envie de me perdre dans l’instant, de ne plus penser à rien, juste à la chair, à la sueur, à la pulsation du désir. J’ai envie de mordre, de griffer, de gémir, de jouir sans honte, sans lendemain, sans promesse.

Je me souviens de cette nuit à Bastille, où nos corps se sont trouvés dans l’urgence, dans la nécessité. Je me souviens de tes mains sur mes hanches, de ta bouche sur mon cou, de la façon dont tu m’as regardé, comme si j’étais la seule personne qui comptait. Je me souviens de la chaleur, de la tension, de la décharge qui m’a traversé tout entier.

Ce soir, j’ai envie de recommencer. J’ai envie de toi, de ton odeur, de ta peau, de ta voix rauque dans mon oreille. J’ai envie de sentir Paris vibrer sous nos corps, de sentir la ville s’effacer, de ne garder que la fièvre, la faim, le plaisir.

Je te veux vraiment, là, tout de suite.