
Des plans vrais, sans détour
Pas là pour discuter météo. Ce soir, j’ai juste envie de sentir un corps contre le mien, sans me retenir, sans détour. Papa solo, je gère mon quotidien, mais parfois, j’ai besoin de lâcher prise, de vibrer, de retrouver ce frisson qui me manque. Que tu sois du Centre-ville, du Quartier de la Halle au Blé ou que tu traînes du côté de Saint-Léonard, peu importe : ce que je cherche, c’est une vraie rencontre, sans prise de tête, juste du plaisir partagé. Pas de promesses, pas de faux-semblants, juste deux envies qui se croisent et qui s’embrasent. Si toi aussi tu ressens ce manque, cette envie de chaleur, de proximité, alors pourquoi attendre ? On passe à l’action maintenant ?
Ce soir, je n’ai pas envie de me retenir. Je suis papa solo, oui, mais je suis aussi un homme, avec des envies qui cognent fort, qui brûlent sous la peau. Les enfants sont chez leur mère, la maison respire le silence, et moi, je sens ce manque, ce besoin d’un corps contre le mien, d’une chaleur brute, sans détour. Je veux un plan cul à Alençon, sans promesse, sans lendemain, juste la vérité de deux corps qui se cherchent et se trouvent.
Je marche dans le Centre-ville, les pavés résonnent sous mes pas, la nuit tombe doucement sur les vitrines éteintes. J’ai des souvenirs ici, des rires échangés sur les terrasses, des regards qui s’attardent un peu trop longtemps. Mais ce soir, je ne veux pas de demi-mesure, je veux la tension, la morsure du désir, la peau qui frissonne sous les doigts. Je traverse le Quartier de la Halle au Blé, là où les lumières des bars dessinent des ombres sur les murs, là où tout semble possible, où les rencontres se font et se défont au rythme des envies. Je me rappelle cette fois, un sourire croisé au détour d’une ruelle, une main effleurée, la promesse d’une nuit sans attaches.
Dans le Quartier Saint-Léonard, l’air est plus calme, mais mon cœur bat plus fort. J’imagine déjà la chaleur d’un autre corps, la douceur d’une bouche, la force d’une étreinte. Je veux sentir la peau, la sueur, le souffle court, les mains qui explorent sans pudeur. Je veux oublier les horaires, les responsabilités, juste pour une nuit, juste pour quelques heures où tout s’efface sauf le plaisir, l’instant, la vérité du désir.
Je n’ai pas envie de me retenir, pas ce soir. Je veux qu’on se retrouve, qu’on se dévore, qu’on laisse parler nos corps sans se poser de questions. Je veux sentir la tension monter, la chemise qu’on déboutonne à la hâte, les baisers qui dérapent, les soupirs qui s’échappent. Je veux qu’on se donne tout, sans rien garder, sans rien regretter. Alençon devient notre terrain de jeu, nos souvenirs s’écrivent sur ses murs, nos envies s’y gravent à même la peau.
On passe à l’action maintenant ?