A Commercy, le désir se vit sans tabou

Je suis tout·e excité·e à [A3]. Plus envie de parler, juste baiser. Trop d’envies, pas assez de sexe, c’est aussi simple que ça. J’ai envie de sentir la tension monter, de croiser un regard complice au détour d’une rue du Centre-ville ou sur la Place Charles de Gaulle, et de savoir qu’on est sur la même longueur d’onde. Pas de prise de tête, pas de blabla inutile, juste deux corps qui se cherchent et se trouvent, que ce soit dans un appart discret du Quartier de la Gare ou ailleurs à Commercy. Je veux du vrai, du spontané, du plaisir sans détour. Si toi aussi tu ressens ce manque, cette envie de tout lâcher pour un plan cul sans lendemain, alors on partage ce moment ou pas ?

Commercy, la nuit, a ce parfum particulier qui colle à la peau, mélange de souvenirs et de promesses. Je marche dans le centre-ville, les pavés résonnent sous mes pas, et je sens monter en moi cette envie qui ne me quitte plus. Trop d’envies, pas assez de sexe. J’en ai marre de parler, de tourner autour du pot, de faire semblant de m’intéresser à la météo ou à la dernière série à la mode. Ce soir, j’ai juste envie de baiser, sans détour, sans fioriture.

Je repense à cette fille croisée Place Charles de Gaulle, son regard qui s’attarde, sa bouche qui esquisse un sourire. On s’est frôlés, à peine, mais j’ai senti la tension, ce courant qui passe et qui ne demande qu’à exploser. J’aurais pu lui parler, lui demander son prénom, mais à quoi bon ? Les mots, ce soir, ne servent à rien. J’ai envie de sentir la chaleur d’un corps contre le mien, de goûter la peau, de mordre, de prendre et d’être pris. Juste ça. Simple, brut, animal.

Je traverse le Quartier de la Gare, là où tout le monde se croise, pressé, indifférent. Mais moi, je ne veux plus être indifférent. J’ai envie de sentir des ongles s’enfoncer dans mon dos, des soupirs dans le creux de l’oreille, des jambes qui s’ouvrent sans hésiter. J’ai envie de sexe, de vrai, sans promesse de lendemain, sans faux-semblant. Juste deux corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se dévorent.

Je me souviens de cette nuit, il y a quelques semaines, dans une ruelle sombre du centre-ville. Nos mains qui se cherchent à l’aveugle, nos bouches qui se dévorent, nos corps pressés l’un contre l’autre, affamés. Pas un mot, juste des gémissements, des râles, la sueur qui perle sur la peau. C’est ça que je veux retrouver. Pas de blabla, pas de prise de tête. Juste du plaisir, pur, intense, sans filtre.

Commercy regorge de tentations, de regards qui s’attardent, de corps qui frôlent. Ce soir, je ne veux plus attendre. J’ai trop d’envies, pas assez de sexe. Je veux un plan cul à Commercy, ici, maintenant, sans détour. On partage ce moment ou pas ?