
Des plans vrais, sans détour
Pas là pour discuter météo. Y’a personne à la maison, sauf mon envie. Ce soir, j’ai juste besoin de trembler à deux, sans prise de tête, sans blabla inutile. Que tu sois du Centre-ville, du Quartier Gare ou que tu traînes souvent vers la Place Léopold, si t’as la même envie que moi, on va vite se comprendre. Je cherche pas à remplir le silence, juste à le faire exploser. Pas de faux-semblants, pas de promesses, juste deux corps qui se trouvent et qui se lâchent. Si t’es prête à vivre un vrai plan cul à Lunéville, sans détour, sans filtre, c’est maintenant ou jamais. À toi de dire si tu viens.
Y’a personne à la maison, sauf mon envie. Ce soir, Lunéville est à moi, et je la sens vibrer sous ma peau comme une promesse. J’ai traîné mes envies dans les rues du Centre-ville, croisé des regards qui en disent long, mais rien n’a calmé ce feu qui me ronge. Les pavés résonnent encore de mes pas, la Place Léopold s’étire sous les lampadaires, et je me surprends à imaginer des mains inconnues, des souffles courts, des corps qui se cherchent sans se promettre.
Je ne veux pas de grandes histoires, pas de faux-semblants. Juste ce frisson brut, ce besoin de trembler à deux, de sentir la chaleur d’une peau étrangère contre la mienne, là, maintenant. Dans le Quartier Gare, j’ai déjà laissé filer des occasions, des sourires échangés à la volée, des envies rentrées faute de courage ou de timing. Mais ce soir, je ne veux plus attendre. Je veux que ça claque, que ça déborde, que ça explose.
L’appartement est silencieux, presque trop grand pour moi seul. J’ai ouvert les fenêtres, laissé entrer l’air de la nuit, celui qui porte les odeurs de la ville, un mélange de bitume chaud et de souvenirs. Je me balade nu, sans gêne, sans retenue, parce qu’ici, il n’y a que mon désir qui compte. Je repense à ces moments volés, à ces baisers échangés dans une ruelle sombre du Centre-ville, à ces mains baladeuses sur un banc de la Place Léopold, à ces regards insistants dans le hall de la gare. Tout ça, c’est du passé, mais ce soir, j’ai envie de présent.
Je veux sentir la tension monter, les vêtements qui tombent, les corps qui s’emmêlent sans se poser de questions. Pas de faux romantisme, pas de promesses creuses. Juste toi et moi, deux inconnus qui se reconnaissent dans la même faim, la même urgence. Je veux que tu viennes, que tu prennes, que tu laisses ta marque sur ma peau, que tu repartes sans te retourner si ça te chante. Ici, il n’y a pas de place pour les regrets, juste pour le plaisir, brut, immédiat, sans filtre.
Lunéville est pleine de tentations, de souvenirs qui collent à la peau, mais ce soir, c’est toi que je veux. Toi, ton odeur, ta chaleur, ta bouche sur la mienne, tes mains partout. J’ai besoin de sentir que je suis vivant, que je peux encore vibrer, encore jouir, encore perdre le contrôle.
À toi de dire si tu viens.