Le plan cul à Gien : immédiat, humain, chaud

Pas de promesse, juste une baise. J’te le dis cash, j’suis pas là pour tourner autour du pot ou faire semblant. Pas envie de me retenir, j’veux juste trouver un plan cul à Gien, sans prise de tête, sans blabla inutile. Que tu sois du Centre-ville, du côté du Quai de Loire ou que tu traînes souvent vers la Place Jean Jaurès, on s’en fout, tant que t’as envie comme moi. Pas besoin de se raconter nos vies, juste se retrouver, se chauffer et passer un bon moment, point barre. Si t’es là pour la même chose, on perd pas de temps. T’es dispo ou t’hésites encore ?

J’ai jamais été du genre à tourner autour du pot. À Gien, tout le monde se connaît, tout le monde se croise, mais moi, ce que je cherche, c’est pas des histoires à rallonge. J’ai pas envie de me retenir, pas envie de faire semblant. Ce soir, j’ai juste envie de sentir la chaleur d’un corps contre le mien, sans promesse, sans lendemain, juste du cul, brut, direct.

Je traîne souvent dans le centre-ville, surtout quand la nuit tombe et que les lumières des bars commencent à s’allumer. Les regards se croisent, les sourires s’échangent, mais moi, je cherche pas à plaire, je cherche à prendre. J’aime cette tension, ce jeu silencieux où tout se dit sans un mot. Parfois, je m’arrête sur le Quai de Loire, je mate les reflets de la ville sur l’eau, et je pense à toutes ces nuits où j’ai laissé parler mes envies, sans filtre, sans frein. Ici, tout est possible, surtout quand on sait ce qu’on veut.

La Place Jean Jaurès, c’est mon terrain de chasse. J’y ai des souvenirs qui collent à la peau, des corps qui se sont frottés au mien dans l’ombre d’une ruelle, des baisers volés, des mains baladeuses. J’aime sentir le désir monter, sentir que ça chauffe, que ça déborde. Pas besoin de grandes phrases, pas besoin de promesses. Juste toi, moi, et cette envie qui nous brûle.

Je veux pas de complications, pas de blabla inutile. J’ai pas envie de me retenir, pas ce soir, pas avec toi. Je veux sentir tes ongles dans mon dos, ta bouche sur la mienne, ton souffle court. Je veux qu’on se dévore, qu’on se prenne sans réfléchir, sans se poser de questions. Ici, à Gien, tout est plus intense, plus vrai. Les murs du centre-ville ont déjà entendu nos gémissements, les pavés du Quai de Loire ont déjà senti nos pas pressés, la Place Jean Jaurès a déjà vu nos corps collés.

Alors, t’attends quoi ? T’es dispo ou t’hésites encore ?