
Des plans vrais, sans détour
Je veux du sexe chaud et sincère. Ce soir, c’est toi ou rien. J’ai cette envie qui me brûle, ce besoin urgent de sentir un vrai corps contre le mien, sans détour, sans blabla inutile. Je ne cherche pas de promesses, juste un plan cul à Dole, direct et assumé. Que tu sois du Centre-ville, de la Place Grévy ou du Quartier des Tanneurs, peu importe, tant que tu sais ce que tu veux et que tu viens sans prise de tête. J’ai envie de vibrer, de gémir, de tout donner, là, maintenant. Si toi aussi tu ressens cette tension, ce manque, alors ne perds pas de temps. Je te veux vraiment, là, tout de suite.
Ce soir, j’ai cette envie qui me brûle, qui me serre le ventre et me fait marcher plus vite dans les rues du centre-ville de Dole. Je ne suis pas du genre à m’exposer, à crier mes désirs sur tous les toits, mais là, c’est différent. J’ai besoin de sentir une peau contre la mienne, de goûter la chaleur d’un corps inconnu, de me perdre dans l’instant. Ce soir, c’est toi ou rien.
Je traverse la Place Grévy, les lumières des terrasses caressent les pavés, les rires s’échappent des bars, mais moi, je ne cherche pas à m’attarder. Je veux juste croiser ton regard, sentir cette tension qui monte, ce jeu silencieux où tout se dit sans un mot. Je me souviens de la dernière fois, dans ce coin un peu sombre près des Tanneurs, où nos mains se sont frôlées, où j’ai senti ton souffle chaud contre mon cou. J’ai envie de retrouver cette sensation, ce frisson qui me parcourt l’échine et me fait oublier tout le reste.
Je ne veux pas de promesses, pas de mots doux, juste la vérité brute de nos corps qui se cherchent et se trouvent. Je veux que tu me prennes, là, sans attendre, sans hésiter. Je veux sentir tes mains sur ma peau, tes lèvres sur ma nuque, ton désir qui répond au mien. Je veux que tu me fasses perdre la tête, que tu me fasses oublier la discrétion, la pudeur, tout ce qui m’empêche d’être moi-même.
Dans les ruelles du centre-ville, je marche vite, le cœur battant, l’esprit en feu. Je pense à toi, à ta façon de me regarder, à cette urgence dans tes gestes. Je veux que tu me retrouves, que tu me plaques contre un mur, que tu me fasses gémir sans retenue. Je veux que tu sois aussi avide que moi, que tu comprennes que ce soir, il n’y a pas de place pour la demi-mesure.
Je ne veux pas attendre, pas discuter, pas tourner autour du pot. J’ai envie de toi, là, maintenant, dans cette ville qui devient le théâtre de nos envies. Dole, ses rues, ses souvenirs, ses tentations… Tout me ramène à toi, à cette envie pressante de te sentir en moi, de t’entendre haleter, de te voir perdre le contrôle.
Je te veux vraiment, là, tout de suite.