Un plan cul réel t’attend à Vesoul

Si t’es chaud·e, je le suis aussi. Ce soir, c’est toi ou rien. J’ai viré Tinder, marre des discussions qui tournent en rond et des plans foireux. Je veux juste du cul, sans prise de tête, sans promesse. Si tu traînes dans le Centre-ville ou que tu connais un coin discret près de la Place Pierre Renet, on peut se retrouver vite fait, bien fait. Quartier de la Gare, ça me va aussi, tant que c’est direct et sans chichi. Pas envie de perdre mon temps, pas envie de parler pour rien. Juste envie de sentir ta peau, là, maintenant. Je suis chaud·e. À toi de jouer.

Ce soir, j’ai balancé Tinder à la poubelle. Marre des discussions stériles, des mecs qui tournent autour du pot, des promesses jamais tenues. J’ai envie de sentir la chaleur brute, la sueur, la peau contre la peau. Juste du cul, sans blabla. Ce soir, c’est toi ou rien.

Je marche dans le centre-ville de Vesoul, talons qui claquent sur les pavés, robe qui colle à mes hanches. Les regards glissent sur moi, certains insistants, d’autres furtifs. Je souris à peine, je sais ce que je veux. Je traverse la Place Pierre Renet, souvenirs d’autres soirs, d’autres corps, mais ce soir, je veux du neuf, du vrai, du direct. Pas de faux-semblants, pas de promesses. Juste toi, ton odeur, ta bouche, tes mains.

Je m’arrête un instant, je laisse la nuit m’envelopper. Les lumières de la ville dessinent des ombres sur ma peau. Je pense à ce que j’ai envie de faire, à ce que j’ai envie qu’on me fasse. Je veux sentir la tension, la morsure du désir, la brutalité douce d’un plan cul à Vesoul. Pas de tendresse, pas de mots doux. Juste la pulsion, la faim, la jouissance.

Je longe le Quartier de la Gare, souvenirs de rendez-vous volés, de baisers volés, de corps pressés contre les murs froids. Ce soir, je veux plus. Je veux que tu me prennes, là, sans attendre, sans hésiter. Je veux que tu me fasses oublier mon prénom, que tu me fasses crier, que tu me fasses jouir. Je veux sentir tes mains sur mes cuisses, ta bouche sur ma peau, ta langue qui explore, qui exige, qui réclame.

Pas de chichis, pas de bla-bla. Juste toi, juste moi, juste nos corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui explosent. Je veux que tu me regardes dans les yeux quand tu me prends, que tu sentes à quel point je suis vivante, à quel point j’ai envie de toi. Ce soir, c’est toi ou rien. Pas de place pour les hésitations, pas de place pour les regrets.

Je suis là, à Vesoul, prête à tout, prête à toi. Je suis chaud·e. À toi de jouer.