Besoin de chaleur à Châteaudun ce soir ?

Une envie animale me travaille… Ce soir, c’est pas le romantisme que je cherche, c’est du plaisir brut, sans détour, sans promesse. J’ai 40 ans, j’assume mes désirs, et je veux un plan cul à Châteaudun, là, tout de suite. Que tu sois du Centre-ville, du Quartier de la Gare ou que tu traînes souvent du côté de la Place du 18-Octobre, je veux sentir ton envie aussi forte que la mienne. Pas de blabla inutile, pas de faux-semblants : juste deux corps qui se cherchent et qui se trouvent, pour une nuit ou juste une heure, peu importe. Je veux des mains qui explorent, des baisers qui brûlent, des regards qui dévorent. On passe à l’action maintenant ?

Ce soir, je n’ai pas envie de promesses ni de mots doux. Je n’ai pas envie de me perdre dans des regards qui cherchent l’éternité. Ce soir, c’est mon corps qui parle, c’est mon envie qui crie, et c’est à Châteaudun que je veux la satisfaire. Je traverse le Centre-ville, talons claquant sur les pavés, robe trop courte pour les convenances, mais parfaite pour attirer les regards qui savent lire entre les lignes. Je sens déjà la tension monter, cette chaleur qui me parcourt l’échine, ce frisson délicieux de l’attente.

Je me souviens de certaines nuits, dans le Quartier de la Gare, où l’on s’est retrouvés à deux, à trois, à s’embraser sans jamais se demander nos prénoms. Là-bas, les murs ont gardé la mémoire de nos souffles courts, de nos mains impatientes, de nos corps qui se cherchent et se trouvent sans détour. Pas de place pour la tendresse, juste la faim, brute, animale, urgente. J’aime cette sensation de ne rien devoir à personne, de pouvoir tout oser, tout réclamer, tout prendre.

Place du 18-Octobre, je m’arrête, je regarde les gens passer. Certains me dévorent des yeux, d’autres baissent la tête, gênés par mon assurance. Mais moi, je sais ce que je veux. Je veux un plan cul à Châteaudun, ici, maintenant, sans détour ni faux-semblant. Je veux sentir des mains sur ma peau, des baisers qui mordent, des corps qui s’emmêlent sans promesse du lendemain. Je veux la sueur, le souffle court, les draps froissés, la jouissance qui explose et qui laisse un goût de reviens-y.

Ce n’est pas le romantisme que je cherche ce soir. Je veux la vérité du désir, la sincérité du plaisir partagé, sans fioritures, sans mensonges. Je veux qu’on se prenne, qu’on se dévore, qu’on se laisse aller à cette urgence qui brûle en moi. Je veux que Châteaudun devienne le théâtre de nos envies, que chaque rue, chaque recoin, chaque souvenir soit marqué par la trace de notre passage.

Alors, tu fais quoi ? On passe à l’action maintenant ?