Plan cul à Foix : vrai, chaud, sans détour

Je veux du sexe chaud et sincère. Aucune envie de dormir seul ce soir, marre de tourner en rond dans mon appart du Centre-ville à Foix. J’ai envie de me lâcher, de sentir la tension monter, de croiser un regard qui ne ment pas. Pas de faux-semblants, pas de prise de tête, juste deux corps qui se cherchent et se trouvent, peut-être dans une ruelle du Quartier du Château ou sur les Allées de Villote, là où la nuit a ce goût d’interdit qui excite. Je ne veux plus me retenir, plus faire semblant d’être sage. Ce soir, j’assume mes envies, mes pulsions, mon besoin de contact vrai. Si toi aussi tu veux vibrer, sans promesse ni lendemain, juste l’instant, alors viens. On se lâche, sans se juger ?

Ce soir, je n’ai aucune envie de dormir seul. J’ai passé la journée à tourner en rond dans mon appart du centre-ville de Foix, à regarder la pluie glisser sur les vitres, à sentir monter en moi ce besoin de chaleur, de peau, de souffle. Je me suis surpris à fixer mon reflet dans la glace, à me demander pourquoi je me retiens toujours, pourquoi je laisse la timidité me bouffer alors que tout mon corps crie l’envie de me lâcher, de goûter à l’inconnu, de sentir une présence contre moi, juste pour une nuit, juste pour oublier le reste.

Je suis sorti, sans but précis, juste pour sentir l’air frais sur mon visage, pour me perdre dans les rues familières. Le Quartier du Château, avec ses pavés humides et ses lumières jaunes, m’a toujours donné l’impression d’un décor de film, un endroit où tout peut arriver. J’ai marché lentement, les mains dans les poches, le cœur battant plus fort à chaque pas, à chaque regard croisé. J’ai repensé à ces soirs où je me suis contenté de rentrer seul, de me glisser sous les draps froids, de rêver à des corps qui ne viendraient jamais. Mais ce soir, non. Ce soir, j’ai envie d’autre chose.

Je me suis arrêté sur les Allées de Villote, là où les gens passent, se frôlent, s’observent du coin de l’œil. J’ai senti la tension dans l’air, ce mélange de désir et de non-dits qui flotte entre les passants. J’ai croisé un sourire, un regard appuyé, et j’ai senti mon ventre se nouer, mon souffle s’accélérer. Pourquoi pas moi ? Pourquoi ne pas oser, pour une fois, laisser tomber les barrières, les doutes, les excuses ? J’ai envie de sentir des mains sur ma peau, de goûter à la fièvre d’un plan cul à Foix, sans promesse, sans lendemain, juste l’instant, juste la vérité brute du désir.

Je me suis souvenu de ces soirs d’été, dans le centre-ville, où la ville semble vibrer d’une énergie différente, où tout paraît possible. Ce soir, j’ai envie de retrouver cette sensation, de me laisser porter par l’envie, par la pulsion, par la promesse d’un plaisir partagé. Je veux des baisers volés dans une ruelle sombre, des rires étouffés, des corps qui se cherchent et se trouvent, sans se poser de questions.

Je n’ai plus envie de me cacher, plus envie de me retenir. Ce soir, à Foix, je veux juste me lâcher, sentir, vivre, jouir de l’instant. On se lâche, sans se juger ?