Un plan cul réel t’attend à Nice

Je cherche du vrai sexe, maintenant. C’est pas le romantisme que je cherche ce soir, c’est du contact, du désir brut, sans prise de tête. J’ai pas envie de tourner autour du pot ou de perdre mon temps à faire semblant. Que tu sois du Vieux-Nice, du Carré d’Or ou que tu traînes du côté du Port Lympia, si t’as la même envie urgente que moi, on est déjà sur la même longueur d’onde. Je veux sentir la tension monter, les regards qui en disent long, et finir la nuit sans regrets, juste du plaisir partagé. Pas de promesses, pas de faux-semblants, juste deux adultes qui savent ce qu’ils veulent. Le plaisir n’attend pas, moi non plus.

Ce soir, je n’ai pas envie de promesses ni de regards qui s’attardent trop longtemps. Je veux juste sentir la chaleur d’un corps contre le mien, la sueur, les souffles courts, la morsure douce de l’urgence. Nice, la nuit, me donne cette énergie brute, ce besoin animal qui me fait marcher vite, les mains dans les poches, le regard qui traîne sur les silhouettes qui s’attardent sous les réverbères.

Je traverse le Vieux-Nice, ses ruelles étroites où l’air sent la mer et le vin renversé. Ici, j’ai déjà croisé des regards qui ne mentent pas, des bouches qui murmurent des envies sans détour. Je me souviens d’une nuit, il y a quelques semaines, où tout s’est joué sur un sourire, une main qui frôle la mienne, et puis la porte d’un appartement qui claque derrière nous. Pas de tendresse, juste la faim, la vraie, celle qui fait trembler les jambes et oublier les prénoms.

Je continue vers le Carré d’Or, là où les bars débordent sur les trottoirs, où les rires sont plus forts, plus libres. Ici, les corps se frôlent, s’effleurent, se cherchent sans se cacher. Je sens les regards, je les rends, je les provoque. Je n’ai pas envie de parler de ma journée, ni d’écouter des histoires. Ce soir, je veux juste qu’on se dévore, qu’on se prenne sans détour, sans promesse de lendemain. Je veux sentir les ongles dans mon dos, les baisers qui brûlent, les mots crus murmurés à l’oreille.

Le Port Lympia n’est jamais loin, avec ses lumières qui dansent sur l’eau noire. J’aime marcher là, tard, quand la ville s’endort et que seuls les vrais noctambules traînent encore. C’est un terrain de jeu, un endroit où tout peut arriver. Je me rappelle d’une fille, un soir d’été, qui m’a attrapé par la ceinture et m’a tiré dans l’ombre d’une ruelle. Pas de questions, juste la fièvre, la peau contre la pierre froide, le plaisir qui explose sans prévenir.

Je ne cherche pas l’amour, pas ce soir. Je veux juste un plan cul à Nice, quelque chose de simple, de direct, sans détour ni faux-semblant. Je veux qu’on se prenne, qu’on se donne, qu’on se quitte sans regret, le souffle court et le sourire aux lèvres. Le plaisir n’attend pas, moi non plus.