A Vichy, le désir se vit sans tabou

Viens, on se fait du bien. Franchement, rien qu’en écrivant ça, je sens déjà la chaleur monter. Pas envie de tourner autour du pot : je cherche juste un plan cul à Vichy, sans prise de tête, sans promesse, juste du plaisir. Que tu sois du Centre-ville, du Quartier Thermal ou que tu traînes du côté des Quatre Chemins, peu importe tant que l’envie est là. J’ai pas envie de blabla, pas de longues discussions, juste deux corps qui se trouvent et qui se comprennent. Si toi aussi t’as envie de vibrer, de sentir la tension monter et de tout oublier le temps d’une nuit, alors on est clairement sur la même longueur d’onde. T’es dispo ou t’hésites encore ?

Je suis déjà en train de sourire en écrivant ça, parce que rien que d’y penser, je sens la chaleur monter. J’ai pas envie de tourner autour du pot, pas envie de blabla, juste ce frisson qui me traverse quand je me rappelle nos regards croisés, là, en plein centre-ville de Vichy. Les gens passent, pressés, mais moi, je ne vois que toi. Tes yeux qui accrochent les miens, ce jeu silencieux, cette tension qui s’installe, qui s’étire, qui me fait vibrer. J’ai envie de toi, là, tout de suite, sans promesse, sans lendemain, juste la peau, la sueur, le plaisir.

Je me souviens de cette fois, dans le Quartier Thermal, la nuit tombait doucement, les lampadaires diffusaient une lumière dorée sur les façades anciennes. On marchait côte à côte, nos mains se frôlaient, et j’avais déjà envie de t’arracher tes vêtements, de sentir ton souffle court contre mon cou. J’avais envie de te plaquer contre un mur, de goûter ta bouche, de sentir tes mains sur moi, partout. Pas de mots inutiles, juste nos corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se dévorent.

Les Quatre Chemins, c’est un autre souvenir, plus brut, plus direct. On s’est retrouvés là, presque par hasard, mais rien n’était innocent. Je t’ai suivi dans une ruelle, le cœur battant, déjà trempé d’envie. Tes doigts sur ma nuque, ta bouche sur la mienne, et ce besoin urgent, animal, de te sentir en moi, de t’entendre gémir, de perdre la tête ensemble. Pas de tendresse, pas de promesse, juste du cul, juste ce feu qui nous consume, qui nous laisse haletants, repus, mais jamais rassasiés.

J’aime cette ville parce qu’elle est pleine de tentations, pleine de coins où on peut se retrouver, s’attraper, se donner sans retenue. J’aime l’idée de te croiser au détour d’une rue, de sentir ce frisson qui me parcourt, cette excitation qui ne me quitte plus. J’ai pas envie de parler, pas envie de m’expliquer. J’ai juste envie de toi, là, maintenant, sans détour, sans filtre.

Alors, t’es dispo ou t’hésites encore ?